Ingénieur du son, futur métier de Thomas

Publiée le 8 juin 2017
Ingénieur du son, futur métier de Thomas

Thomas ROGUES de FURSAC, étudiant en troisième année Son option « Cinéma télé Radio » nous livre son parcours à l’ESIS et sa passion pour le métier d’ingénieur du son.

Je suis actuellement en troisième année à l’ESIS dans la section son de l’établissement. J’ai toujours été féru de cinéma et de musique et le métier d’ingénieur du son m’a toujours intéressé.

Après avoir commencé à faire mes projets avec mes amis ou dans mon home studio j’ai décidé de faire du métier d’ingénieur du son le mien, c’est pourquoi j’ai intégré l’ESIS. De plus, certains de mes amis, déjà présents dans l’établissement m’ont conseillé la formation son de cette école.

Cette formation présente plusieurs points forts notamment la petite taille de l’école qui permet un contact facile avec les autres élèves ainsi qu’avec les professeurs ce qui permet une bonne entraide entre chacun et un rapport différent de celui professeur/élève, plus poussé et plus stimulant. L’accès aux studios ainsi qu’au matériel et au parc micros est aisé et permet donc à chacun d’approfondir ses connaissances acquises en cours en pratiquant de son côté sur des projets personnels ou bien juste pour s’entrainer.

Le fait de s’ouvrir sur tous les corps de métiers du son les premières années est également stimulant et motivant et permet de voir le milieu du son dans son ensemble pour ainsi se spécialiser suite à nos différents stages et rencontres et aussi grâce à certains TP mis en place pour mettre en pratique les cours théoriques effectués au préalable.

Les professeurs étant tous des intervenants déjà actifs dans le milieu, est également une chose qui pousse à apprendre auprès d’eux. Je pense notamment à des professeurs comme Mickael Rangeard, Benjamin Jaussaud, Charles Pouchayret, Charles Michaud ou encore Jean-Loup Morette et bien d’autres. Le fait de pouvoir apprendre de leur expérience est très important quant à l’orientation que nous prenons pour la suite de nos études, que ce soit dans le domaine du tournage, de la post – production ou encore du studio.

J’ai également pu découvrir le monde professionnel durant mes stages dans le monde de la post – production ou encore de la musique dans des studios comme le Studio Belleville ou encore Studio Garage/La fugitive, et également durant des séances que j’ai pu effectuer ponctuellement comme à Midi Live. J’ai donc pu avoir une vision claire du monde dans lequel je suis susceptible d’évoluer par la suite.

Tous ces points qui précèdent sont selon moi les aspects qui font les principaux points forts de l’école et qui m’ont motivé à donner le meilleur de moi même tout au long de ces trois années.

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