MÉMORIA, PREMIER LONG METRAGE DE NOS ÉTUDIANTS BIENTÔT TERMINÉ

Publiée le 28 juin 2018
MÉMORIA, PREMIER LONG METRAGE DE NOS ÉTUDIANTS BIENTÔT TERMINÉ

Nous vous avions annoncé que nos étudiants de troisième année, audiovisuel et son, avaient commencé une magnifique aventure en réalisant leur premier long métrage, Mémoria.
Où en sont-ils aujourd’hui ?

 

La phase de tournage est bientôt terminée. En effet, ils ont déjà tourné durant 5 semaines. Au moins de juillet, ils vont entamer leur dernière semaine de tournage, du 7 au 12 juillet, dans différentes villes de Bretagne. Cela sera une semaine passionnante, pour eux car ils devront notamment tourner avec de nombreux enfants figurants, dans une école. Et pour ce tournage, ils vont dévaliser la régie technique de l’ESIS en empruntant du matériel.
Pour les interprètes, ils ont fait appel à 6 acteurs principaux et de nombreux figurants pour deux scènes du film. L’équipe technique, quant à elle, est composée en moyenne de 30 à 35 techniciens issus en grande partie de l’ESIS. Ils ont même « recruté » un audiovisuel en deuxième année, Kilian THOMAS, pour faire le making of.
Par ailleurs, la musique, étant un thème important, nos étudiants en son troisième année ont composé pas moins de 15 musiques originales.
Marceau UGUEN, le réalisateur du film a bien voulu partager avec nous ses premières impressions et surtout son expérience à diriger une enfant qui est un personnage clé dans l’histoire… qui rappelons-le, justement, est l’histoire de Lili, 6 ans, qui vient de perdre sa mère Yana, immense pianiste. Son père, Paul 38 ans, ne parvient pas à lui annoncer clairement le décès de sa mère ni à faire son deuil.

« Mona GUENNEGUES qui a 6 ans est le personnage principal car elle joue le rôle de Lili. J’avais déjà tourné un court métrage avec elle lorsqu’elle avait 4 ans. Je l’avais tout de suite apprécié pour son professionnalisme car elle devait tourner une scène assez simple : courir dans le froid. Ce jour là, il faisait 0 degré et elle a refait la scène au moins 15 fois sans jamais se plaindre. Avec Bastien GROS, lorsque nous avons écrit notre long-métrage, cela a été une évidence pour nous qu’elle interprète le rôle de Lili.
Pour la préparer au rôle, je suis allée la voir de nombreuses fois en Bretagne. Elle était toujours accompagnée de son père. Je lui ai alors fait faire plusieurs exercices pour l’habituer à la caméra ; pour la rendre plus familière avec les notions de champs-hors champs, pour qu’elle comprenne le rythme d’un tournage avec les habituels « Action » « Coupez ». C’est une enfant très attentive, intelligente et observatrice. Elle a très bien intégré tout ce que je lui ai appris.
Je me souviens d’une anecdote. Nous étions sur le tournage, prêts à tourner notre première scène, quand Mona a explosé de rire. Inquiet, je lui ai fait remarquer que dès que l’on annonçait « Action », il fallait qu’elle se concentre. Elle m’a répondu, qu’il ne fallait pas s’inquiéter, qu’elle avait bien compris les consignes et qu’elle allait être pro. Effectivement, nous n’avons pas été déçus… Elle a joué le jeu sans aucun problème. »

Nous leur souhaitons bon courage pour le film qui devrait être en post-production à compter de cet été jusqu’à la fin de l’année.

En attendant, vous pouvez voir le teaser en suivant les liens suivants :Teaser de Mémoria-Facebook ou Teaser Mémoria Youtube

 

 



François PECARD, étudiant en son, en CDI chez Dubbing Brothers

Publiée le 10 avril 2018
François PECARD, étudiant en son, en CDI chez Dubbing Brothers

François voulait essayer le métier d’ingénieur du son depuis longtemps car c’est un musicien. Il pratique le piano depuis 15 ans et son père lui a transmis la passion du son.
Il a voulu tester l’ingénierie du son pour savoir si cela l’intéressait car il avait du mal à se projeter dans la musique. C’est pourquoi il s’est mis à la recherche d’une école via des salons dans un premier temps.

 

Son choix s’est porté sur l’ESIS car il a été séduit par la motivation et le dynamisme des étudiants et de ses intervenants.

En arrivant à l’ESIS, François voulait faire de la musique. Cependant, le fait de toucher à tous les postes, toucher à tous les domaines dans le son (Musique, Cinéma, Radio et Live) dès la première année a déclenché un vrai coup de foudre du son à l’image et il a rapidement changé d’objectif.
Sa scolarité lui a permis de concevoir les métiers du son à l’image de manière plus large et de pouvoir mieux envisager l’aspect créatif. Il a rapidement apprécié de créer un environnement sonore sur un film, de raconter une histoire par le son. Cela lui a permis d’ouvrir et d’aiguiser son sens critique de l’image et du son. La musique c’était ex-traordinaire mais cela était moins faisable que l’Audiovisuel de son point de vue. Les deux domaines sont créatifs mais François voyait plus de débouchés dans le cinéma.
Aujourd’hui, François est en CDI en tant que Technicien Nodal Audio chez Dubbing Brothers. C’est le premier échelon dans cette entreprise : préparer des sessions, faire des Rapports de VI, envoyer des projets finis en respectant les contraintes techniques.Ce sont les petites mains très importantes de l’entreprise. Il a travaillé sur Star Wars, Game of Thrones, Ready Player one, …
Cela fait plus d’un an qu’il travaille chez eux. Lors de sa seconde année, un de ses pro-fesseurs lui avait transmis le contact du directeur technique de Dubbing brothers. Fran-çois s’est rapidement vu proposer un emploi au sein de cette société, mais il a préféré finir son cursus à L’ESIS. C’est donc une fois diplômé qu’il a intégré Dubbing Brothers.
Il a alors eu un CDD de 3 mois qui a été renouvelé en CDI.
François nous a évoqué avec passion son plan de carrière à moyen terme :
« Dans cette entreprise, il y a de belles perspectives d’évolution. En effet, des places se libèrent et on peut monter en grade assez rapidement. Je vise le métier de Recorder, qui est un assistant mixeur. Le Recorder est un « couteau suisse » de la boîte. Il peut faire de la prise de son, de l’assistanat de mix, du mixage, de la maintenance. C’est un poste très enrichissant et varié, où l’on apprend beaucoup.
Parallèlement, je continue à faire des courts métrages pour du montage son et du mixage ainsi que des compositions musicales. Cela reste des projets bénévoles mais je vais reprendre la musique en plus de tout cela. »
On souhaite une belle continuation à François…

Pour en savoir plus sur Dubbing Brothers qui est leader sur le marché du doublage.. c’est par ici http://www.dubbing-brothers.com/home.php

Gaelle CUEFF s’expose à l’ESIS

Publiée le 17 octobre 2017
Gaelle CUEFF s’expose à l’ESIS

L’association Fetart s’est jointe à La Mairie du 10ème arrondissement afin d’organiser la 7ème édition des Rencontres photographiques du 10ème.

Cette édition permet d’exposer la création photographique contemporaine sous toutes ses formes. Amateurs comme professionnels peuvent s’exposer dans l’espace public mais aussi de très nombreux lieux du 10 ème aussi diversifiés que des boutiques, des galeries, centres commerciaux ….Pour connaitre les lieux, nous vous invitons à suivre ce lien :  www.rencontresphotoparis10.fr

 

L’ESIS a choisi de s’associer à cet évènement en exposant l’artiste Gaëlle CUEFF dans ses locaux du 16 au 30 octobre 2017.

 

Cette artiste qui fait l’objet d’un bel article sur Biba

 

Est une artiste qui fait des collages et sublime alors ses œuvres en créant un univers bien à elle.

 

Elle expose chez nous une vingtaine de ses œuvres qui sont composées d’images de magazines ..mais pas que … Vous pouvez voir ses œuvres du lundi 16 au lundi 30 octobre de 10h00 à 17h00. Pour en savoir plus sur cette artiste de talent, nous vous laissons découvrir ses œuvres : gaelle-cueff-collages.com

 

Par ailleurs, ESIS va plus loin dans son partenariat car aidée du BDE, l’école va réaliser deux captations et faire un reportage sur l’artiste Gaëlle CUEFF. Cela permet ainsi à nos étudiants de travailler dans des conditions professionnelles et de continuer à faire de l’audiovisuel, dans le cadre d’activités extra-scolaires…

Lucas Legendre, le parcours d’un futur ingénieur du son

Publiée le 4 août 2017
Lucas Legendre, le parcours d’un futur ingénieur du son

Lucas a un parcours un peu atypique. Musicien depuis son plus jeune âge, il n’a pas voulu se lancer après le baccalauréat dans un métier en rapport avec sa passion car il pensait que c’était trop précaire. Il souhaitait néanmoins travailler dans une branche créative mais apparemment plus stable. Ainsi, après avoir commencé une mise à niveau d’arts appliqués car il voulait devenir architecte d’intérieur, il s’est très vite remis en question, ne considérant pas avoir trouvé sa voie et a commencé à occuper différents emplois. Après de nombreuses expériences professionnelles, qui lui ont apporté maturité et réflexion, il a finalement décidé de retourner à sa première idée : un métier qui pourrait concilier un projet professionnel concret et sa passion. Après de nombreuses recherches en salons et journées portes ouvertes, son choix s’est porté sur le métier « d’ingénieur du son » et sur l’ESIS pour y parvenir.

Pourquoi l’ESIS ?

C’est une formation en 3 ans avec une spécialisation en 3ème année en Studio Live : ce qu’il voulait vraiment faire. Par ailleurs, le fait de pouvoir toucher à plusieurs domaines (studio, sonorisation, prise de son tournage, montage et mixage cinéma, radio …) était pour lui le signe d’une ouverture d’esprit professionnelle. Mais on va le laisser un peu s’exprimer …

« J’ai appris beaucoup de choses durant mes 3 années à l’ESIS. J’ai apprécié le fait qu’il y ait une vraie partie théorique en première année qui fait partie des fondamentaux pour pouvoir avancer (qu’est-ce que le son ? comment se propage-t-il ? comment le capter ? le diffuser ?…), mais aussi de façon équivalente, une partie artistique et créative.

Quant à la pratique, on pratique vraiment. Avec les TP radios, les courts métrages, le studio… Ce métier est un métier d’artisan, artisan du son, il faut donc pratiquer, mettre en application, expérimenter afin de développer ses compétences et acquérir un réel savoir-faire. L’école, via ses cours et la disponibilité de son infrastructure, met un point d’orgue à cela. L’apothéose de la formation intervient en troisième année en spécialisation Studio Live, lors des « TP ultimes »qui sont pour moi les deux semaines d’enregistrement et mixage entièrement analogiques au studio MIDILIVE avec Samuel NAVEL et les nombreux cours de mixage égrainés tout au long de l’année avec Michael RANGEARD. Je n’oublie pas de citer Charles MICHAUD qui distille ses cours, sur les trois années ; cours tout aussi artistiques que techniques, de l’électroacoustique au numérique en passant par la culture musicale et l’écoute critique.

Par ailleurs, je parlais de la disponibilité des infrastructures de l’école. En effet, je considère que l’école est une base, avec son lot de connaissances théoriques et pratiques ; et que l’accomplissement personnel ne s’acquiert qu’avec ce que nous irons chercher nous-mêmes entre deux cours. L’école met donc à disposition son matériel et ses studios lors de nos temps libres. J’ai donc, au cours de mes trois années d’études, utilisé un maximum de ces moments de « liberté » pour aller concrétiser ce que j’ai appris, aller plus loin, expérimenter et développer des projets personnels parallèles à l’école. Cette expérience personnelle est une vraie complémentarité de cours prodigués par l’ESIS.

De ces heures passées en studio en découle la rencontre de quatre camarades de promotion qui sont devenus des amis et avec qui j’ai créé une association, courant 2016, FYVE PRODUCTION, qui nous permet d’avoir une structure légale pour se lancer dans le monde de la production phonographique.

 

Aujourd’hui, on prend notre temps. On va construire notre carrière et acquérir de l’expérience et du réseau qui servira, à terme, à l’association que nous continuons de développer en parallèle.

Après l’obtention de mon diplôme, je repars en stage deux mois aux studios FERBER, pour profiter de cette expérience unique dans un grand studio mythique. Mon objectif professionnel est de travailler dans un studio, acquérir toujours plus de savoir et d’expériences, étoffer mon réseau et pourquoi pas un jour devenir réalisateur au sein du label FYVE PRODUCTION dans les studios FYVE ! »

 

Merci Lucas pour ce témoignage et nous sommes impatients de vous suivre pour la suite de vos aventures …

Crédit photo de couverture Michel ANGELA

Un long métrage préparé par nos étudiants de deuxième année

Publiée le 21 juillet 2017
Un long métrage préparé par nos étudiants de deuxième année

Nos étudiants sont pleins d’idées et de ressources et ils nous le prouvent encore une fois, en se lançant dans la réalisation d’un long métrage.

 

En réalisant leurs court-métrage en fin de première année Marceau UGUEN et Joffrey ROBERT ont muri l’idée de faire un long-métrage. Pourquoi un long-métrage dès le début de leur troisième année ? Tout simplement pour réaliser un rêve et lancer les étudiants dans le monde du cinéma ….

Ainsi dès mai 2016, Marceau UGUEN et Bastien GROS se sont attelés à l’écriture d’un scénario. Celui-ci est terminé et ils sont entrés en pré-production.

De quoi parle ce long-métrage intitulé provisoirement « Mémoria » ? C’est l’histoire de Lili, 6 ans, qui vient de perdre sa mère Yana, immense pianiste. Son père, Paul 38 ans, ne parvient pas à lui annoncer clairement le décès de sa mère ni à faire son deuil.

Un matin, Lili retrouve le piano de sa mère et se plonge dans l’apprentissage de l’instrument avec son père. Mais Paul développe une relation malsaine avec sa fille, retrouvant sa femme à travers elle.

Comment ce drame familial d’1heure 40 va se produire ? Les étudiants vont le financer en travaillant et en lançant une campagne de crowdfunding. Ils seront épaulés par l’association « les nouveaux films ». Une partie du matériel sera empruntée à l’ESIS et une grande partie de l’équipe technique sera composée des camarades de promotion. Le film a donc été écrit par Bastien GROS et Marceau UGUEN. Il sera réalisé par Marceau UGUEN, qui assurera aussi l’image et qui sera entouré, notamment de :

·         Bastien GROS ET Marianne BOUIN à la production

·         Jérémy MARNOTTE, comme conseiller artistique image

·         Joffrey ROBERT, comme 1er assistant réalisateur

·         Jonas CHOMÉ, comme 2ème assistant réalisateur et directeur de casting

·         Charlène ABRAMSON comme storyboardeuse et scripte

·         Pierre AMIARD et Anastasia LOBBÉ comme régisseurs et monteurs

·         Thomas RENAUX, comme directeur de la photo

·         Bastien ROULAND, comme Chef électro

·         Cathleen FAVRE, 1ère assistante OPV

·         Chloé AMBIELLE, 2ème assistante OPV

·         Louis-Alexandre LELEUX, comme superviseur SFX plateau

·         Lucas PARINAUD, comme Chef OPS

·         Nils BOROWSKI et Thomas KOWALSKI, comme perchmans, pour le montage son, le mastering et la composition de musique

·         Tom VAQUEZ, comme Chef décorateur

Le tournage aura lieu sur 4 périodes, car évidemment il ne faut pas qu’ils manquent leurs cours ! Le tournage se déroulera de la manière suivante : 1 semaine en septembre 2017, 1 semaine à la Toussaint, 2 semaines à Noël et une semaine en février 2018. La moitié des décors a été trouvée et ils sont en phase bien avancée de castings.

Afin qu’il soit tourné, monté et présenté en festivals … On vous invite à les aider en suivant ce lien …https://fr.ulule.com/memoria-2/

On vous racontera la suite de leurs aventures, très très vite !!!

 

 

 

 

Stage réussi à l’étranger pour Bastien LAVAL

Publiée le 17 juillet 2017
Stage réussi à l’étranger pour Bastien LAVAL

Bastien LAVAL, étudiant en troisième année en Son option Studio a beaucoup voyagé, a un goût prononcé pour différentes cultures et il souhaitait depuis longtemps une expérience à l’étranger.

 

Il y a trois ans, Bastien a eu l’opportunité de partir à Portland et a adoré son expérience au sein d’une famille américaine avec qui il n’a jamais perdu le contact. Pour son stage de fin d’études, il a trouvé que c’était une très bonne idée de faire son stage à Portland.

Il a alors envoyé des mails de candidatures aux 23 studios de Portland. Il a eu trois réponses. Il a dû passé un entretien par skype, qui a duré une heure, et a été accepté dans un studio «  Rex Production & Post ».

 

Dans ce studio, ils font :

·         De la musique, mais c’est une activité annexe

·         De l’ADR (Additional Dialogue Replacement) c’est-à-dire de la post-synchronisation pour de la pub télé, de la pub radio

·         Des enregistrements radio

·         Des transferts

·         Une partie vidéo avec de l’étalonnage …

De par la multiplicité de ses activités, «  Rex Production & Post » est le plus gros studio de Portland et, ce qui ne gâche rien, a une acoustique incroyable. Bref un parfait terrain de jeu pour appréhender au mieux le marché du travail.

Il est non seulement parti à l’étranger mais on lui a confié de nombreuses tâches intéressantes : il a pu mixer des chansons, assuré la bande sonore de courts-métrages, les ambiances de longs-métrages. Il a par ailleurs fait beaucoup de sound design et du mixage sur des publicités radio et télé. Il a aussi procédé à de nombreux enregistrements de musiciens, groupes (type Country, pop …) en tant qu’ingé son et assistant et a pu enregistrer des voix off en tant qu’assistant.

Ses activités ont varié tous les jours pendant trois mois. Il a beaucoup appris de cette expérience et est fin prêt pour travailler …

Retour sur notre collaboration avec Universal Music

Publiée le 13 juin 2017
Retour sur notre collaboration avec Universal Music

Comme nous vous l’avions déjà indiqué, nous avons un partenariat avec le label que l’on ne présente plus Universal Music.

 

Cette année, ils nous ont confié la réalisation d’un clip pour Aron OTTIGNON, qui n’est pas un inconnu car il a contribué au succès de Stromae avec Papoutai. Aujourd’hui il vole vers de ses propres ailes avec un album entre, notamment, Jazz et électronique.
Nos étudiants ont eu alors la lourde tâche d’écrire et de réaliser un clip pour le titre « Starfish ».

Ce clip a été réalisé par Tom PEYRONY. Il a été secondé par :
• le régisseur général, Maïlys BENCHABANE
• le producteur, Théa RUBINSTEIN
• le 1er assistant réalisateur, Axel ROBERT
• le second assistant réalisateur, Anthony FONTBONNE
• le chef opérateur, Hugo BARDOULA
• le 1er OPV, Samy SALHI
• le cadreur, Jessy LORRE
• le scripte, Quentin MORTREUX
• le chef machiniste, Erwan BERTELLE
• le chef électricien, Baptiste MARET
• l’équipe électro/machino, Émile MAINKA et Logan DURON
• l’accessoiriste, Christophe TEISSEDRE
• le monteur, Émile MAINKA

Ce clip assez conceptuel est visible sur le lien suivant : CLIP STARFISH

Bon visionnage et à très vite pour de nouveaux clips…

Comment j’ai rencontré mon père, un film à ne pas rater…

Publiée le 9 juin 2017
Comment j’ai rencontré mon père, un film à ne pas rater…

Nos étudiants sont des passionnés de cinéma et de musique ..C’est pourquoi, lorsqu’un film sort de l’ordinaire, ESIS n’hésite pas à le soutenir et le recommander aux amoureux du Septième art…

 

Ce film est  » Comment j’ai rencontré mon père », écrit et réalisé par Maxime MOTTE. Il est sorti dans les salles le 7 juin 2017.
Il est composé d’un casting de qualité :Isabelle CARRÉ, François-Xavier DEMAISON, Albert DELPY, Diouc KOMA et le jeune OWEN KANGA.
Cette comédie raconte les péripéties d’Enguerrand, petit garçon adopté d’origine africaine. Dans sa famille rien ne se fait comme ailleurs !
Son père, Eliot, assume si peu d’être un père adoptif qu’il bassine son fils à longueur de journée sur ses origines africaines. Pour sa mère, Ava, Eliot en fait trop : trop aimant, trop étouffant… Une nuit, Enguerrand croise le chemin de Kwabéna, à la peau noire comme la sienne, qu’il se choisit comme père biologique ! De péripéties en rebondissements, l’aventure qui les attend pourrait bien souder la famille comme jamais.
On vous invite donc à aller le voir, d’autant que les critiques sont très positives :
NAGUI, RTL
« On vous encourage à aller voir ce film. Une très bonne comédie avec du rythme et du fond. Le sujet du film c’est la vie. »

Thomas HUGUES, RTL
« Un coup de maître »

Jeanne THIRIET, MELLOW MAGAZINE
« A voir en famille pour ouvrir ensemble son coeur et son intelligence. »

Damien THÉVENOT, FRANCE 2
« Coup de coeur absolu. »

Stephane BERN, EUROPE1
« Un film touchant, drôle, un peu déjanté »

ELLE MAGAZINE
« Un film qui fait du bien »

Vous voulez vous faire votre propre idée ? allez voir la bande annonce : cela se passe par ici : http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19567869&cfilm=177631.html

Mais le mieux, c’est d’allez voir le film …

Ingénieur du son, futur métier de Thomas

Publiée le 8 juin 2017
Ingénieur du son, futur métier de Thomas

Thomas ROGUES de FURSAC, étudiant en troisième année Son option « Cinéma télé Radio » nous livre son parcours à l’ESIS et sa passion pour le métier d’ingénieur du son.

Je suis actuellement en troisième année à l’ESIS dans la section son de l’établissement. J’ai toujours été féru de cinéma et de musique et le métier d’ingénieur du son m’a toujours intéressé.

Après avoir commencé à faire mes projets avec mes amis ou dans mon home studio j’ai décidé de faire du métier d’ingénieur du son le mien, c’est pourquoi j’ai intégré l’ESIS. De plus, certains de mes amis, déjà présents dans l’établissement m’ont conseillé la formation son de cette école.

Cette formation présente plusieurs points forts notamment la petite taille de l’école qui permet un contact facile avec les autres élèves ainsi qu’avec les professeurs ce qui permet une bonne entraide entre chacun et un rapport différent de celui professeur/élève, plus poussé et plus stimulant. L’accès aux studios ainsi qu’au matériel et au parc micros est aisé et permet donc à chacun d’approfondir ses connaissances acquises en cours en pratiquant de son côté sur des projets personnels ou bien juste pour s’entrainer.

Le fait de s’ouvrir sur tous les corps de métiers du son les premières années est également stimulant et motivant et permet de voir le milieu du son dans son ensemble pour ainsi se spécialiser suite à nos différents stages et rencontres et aussi grâce à certains TP mis en place pour mettre en pratique les cours théoriques effectués au préalable.

Les professeurs étant tous des intervenants déjà actifs dans le milieu, est également une chose qui pousse à apprendre auprès d’eux. Je pense notamment à des professeurs comme Mickael Rangeard, Benjamin Jaussaud, Charles Pouchayret, Charles Michaud ou encore Jean-Loup Morette et bien d’autres. Le fait de pouvoir apprendre de leur expérience est très important quant à l’orientation que nous prenons pour la suite de nos études, que ce soit dans le domaine du tournage, de la post – production ou encore du studio.

J’ai également pu découvrir le monde professionnel durant mes stages dans le monde de la post – production ou encore de la musique dans des studios comme le Studio Belleville ou encore Studio Garage/La fugitive, et également durant des séances que j’ai pu effectuer ponctuellement comme à Midi Live. J’ai donc pu avoir une vision claire du monde dans lequel je suis susceptible d’évoluer par la suite.

Tous ces points qui précèdent sont selon moi les aspects qui font les principaux points forts de l’école et qui m’ont motivé à donner le meilleur de moi même tout au long de ces trois années.

Timothée Bost, le parcours d’un ancien étudiant son

Publiée le 5 juin 2017
Timothée Bost, le parcours d’un ancien étudiant son

Timothée Bost a suivi le cursus Son, option Ciné-Télé-Radio. Il est sorti diplômé de l’école en 2015. Il nous livre son parcours.

 

Je me suis inscrit à l’ESIS (comme beaucoup) afin d’apprendre le métier d’ingénieur du son studio, étant musicien et passionné de musique. Mes ambitions et mon objectif professionnel ont par la suite évolués au fur et à mesure que j’ai découvert la diversité des métiers du son. Je cherchais alors une école proposant une formation adaptée au marché actuel du travail, et à l’échelle humaine, proche de ses étudiants.

Durant ma formation, j’ai découvert de nombreuses professions du son que je ne soupçonnais pas, et qui ont fait évoluer mes objectifs professionnels. Je me suis passionné pour la création sonore et l’alchimie provoquée par l’association de l’image et du son. J’y ai appris les notions indispensables à tout ingénieur du son, ainsi qu’une foule de choses que je ne regrette pas. J’ai également appris à développer mon sens critique de l’écoute, et ma capacité à imaginer l’univers sonore qui conviendrait à un projet.

Depuis ma sortie de l’ESIS et l’obtention de mon diplôme, j’ai pu occuper de nombreux postes :
Chef Opérateur son (fictions, télévision, publicité, documentaires…)
Sound designer / Monteur son (séries d’animation, fictions…)
Mixeur film (fictions…) Régisseur son / Assistant plateau / Opérateur son façade (festivals / spectacles / concerts…)
Formateur Son occasionnel

Aujourd’hui, je cherche à obtenir mon statut d’intermittent du spectacle (prévu pour l’année 2017).

Je travaille donc en CDDU, sur divers tournages en tant que Chef opérateur son (productions HVH, Birth TV, PMSA…), ainsi qu’en tant que Sound designer et monteur son sur des films de fiction et d’animation.

J’ai monté mon propre studio de montage son et de bruitage, et travail en collaboration avec d’autres Sound designers pour proposer une équipe soudée et prête à prendre en charge de gros projets aux productions.

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